Une indescriptible joie.


Suite à une invitation reçu dans ma boite mail, le seize mars dernier j'ai eu la chance d'assister au mini concert qu'offrait le Black Bazar au virgin megastore de barbes à l'occasion de la sortie de leur tout premier opus. Concert au cours duquel, un  hommage a aussi été rendu aux victimes de l'explosion qui a eu lieu au Congo-Brazzaville le quatre mars.
A cet effet, j'ai eu la joie de rencontrer pour la toute première fois Mr Alain Mabanckou. Ceux qui me suivent sur youtube savent à quel point j'aime cet homme, ses écrits sont souvent source d'orgasme intellectuel, pour moi,  chaque nouveau roman est comme une première fois je suis impatiente de déballer, découvrir et  déguster ses mots. Le voir si humain, si accessible si simple, m'a conforté dans l'idée que j'avais de cet homme qui en faisant chanter les mots, parvient à faire danser mon univers, vous l'aurez compris j'étais telle une groupie face à son idole mais rassurez vous, j'ai su gérer la situation ( pas de crise d'hystérie, ni d'agissement enfantin ).
Je vous épargne une biographie classique de l'Homme que vous trouverez très facilement sur Wikipedia ou google, je me permet simplement de vous dire que j'ai découvert son oeuvre il y a de cela six ans en lisant African Psycho et verre cassé, depuis, je ne le lâche plus, il me tarde de lire son dernier roman Le sanglot de l'homme noir.



Je n'ai pas pu lui poser toutes les questions que j'avais préparé car il était attendu chez Denisot pour un échange avec l'actuel président de la république française, mais je sais que ce  n'est que partie remise.
Je reviendrai avec un post consacré au Black Bazar, mais je tenais a partager ce petit instant de bonheur avec vous les YGB sortez couvert oui je tiens aussi à vous.

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