Je vous invite à partager mon début de week-end.
Samedi soir était jour de show pour les hairloveuses, Séphora Joannes nous invitait à assister à son tout premier défilé de coiffure artistique comme vous avez pu le voir un peu partout sur les résaux sociaux.Le spectacle était époustouflant pour quiconque avait le coeur léger et l'esprit à la fête à l'ouverture des hostilités.
Le show était prévu à vingt heure, heure de Paris. Avec mon agenda chargé, digne d'une vraie rentrée scolaire, j'ai du courir et suer pour être la avec seulement dix minutes de retard et je m'en voulais déjà pensant avoir raté le début du spectacle.
Vingt heures disais-je pour le départ du spectacle ?
Deux heures plus tard nous étions encore en train d'attendre l'apparition de la première tête crépue sublimé par la fibre artistique de Séphora Joannes.
On a regardé partir de nombreux spectateurs qui las d'attendre ont jeté l'éponge, c'était un samedi soir tout de même!!! moi ? j'ai tenu grâce aux aventures rocambolesques de Afromangocie, elle m'a tellement enjaillé que j'ai pendant presque deux heures oublié de m'en aller.
Je ne regrette cependant pas d'avoir attendu car le résultat était à la hauteur bien que...
Oui, encore des points à améliorer, les mannequins ont à mon sens fait des passages éclair, il fallait quasiment leur hurler dessus pour qu'elles daignent prendre la pose et nous permettre d'admirer et d'immortaliser leur passage .
Bon ok j'exagère un peu j'ai des origines marseillaises qui resurgissent quand je raconte ma vie parfois, quoi qu'il en soit, il faut le reconnaitre, oui c'est indéniable : c'était de l'art et du grand, je dis dommage pour cette attente trop longue qui à eu raison de la ferveur de beaucoup.
J'avais prévu de commencer par cet événement ci, de poursuivre avec le show sur la drepanocytose, mais vous comprendrez qu'avec cet imprévu temps, tout mon programme a été chamboulé.
Moi qui d'ordinaire dégaine mon appareil photo plus vite que mon ombre, j'ai oublié de faire des portraits de toute ces beautés Afro qui composaient la foule, le temps que je m'en rende compte, je courais déjà vers le métro.
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